2020-2021
Espagnol
Coord. : R. Lafitte
En el festival Cinelatino, algunos estudiantes de LVB de LSH AL y BL vieron la película El olvido que seremos y algunos LVA presenciaron la entrevista del realizador Fernando Trueba. Trailer : https://www.youtube.com/watch?v=ppezPGQJ8Yw
Entrevista a Fernando Trueba :https://www.youtube.com/watch?v=H9tRQWwpvzg
« Les Colombiens ont la douleur et le refus de l’oubli inscrits dans leur chair ». Le film L’oubli que nous serons de Fernando Trueba est adapté d’un roman autobiographique d’Héctor Abad Faciolince, paru en 2006, qui a connu un succès très important en Colombie.
Nous avons demandé à Marie Estripeaut-Bourjac (1), spécialiste de la question de l’écriture de la mémoire en Colombie, de nous expliquer en quoi ce récit témoignait d’une période particulièrement mouvementée dans le pays. (Pauline Le Gall).
– Vous avez travaillé sur l’écriture de la mémoire en Colombie. Comment le roman d’Héctor Abad Faciolince, L’oubli que nous serons, s’inscrit-il dans cet élan littéraire ?
Ce récit autobiographique, et revendiqué comme tel, a pour objectif de dénoncer l’incurie des pouvoirs publics. À l’heure actuelle, les causes de l’assassinat d’Héctor Abad Gómez ne sont toujours pas éclaircies. Aucun jugement n’a été rendu. Le récit est donc une forme de réparation et de thérapie pour l’auteur et pour sa famille. Faciolince n’a d’ailleurs de cesse de l’écrire : «J’ai enfin pu parler ». Ce témoignage est particulièrement important parce qu’il se situe à l’un des moments les plus tragiques de l’histoire de la Colombie, dans les années 80.
– Le film, tout comme le roman, mêle récit intime et histoire de la Colombie. Comment cette forme permet-elle de raconter la complexité de la situation dans le pays, notamment dans les années 80 ?
Les quinze dernières années de la vie d’Héctor Abad Gómez, qui sont racontées dans le livre et le film, sont étroitement liées à l’histoire de la Colombie. Il était très investi socialement et s’est d’ailleurs présenté à la mairie de Medellín. Toutes les vexations et les persécutions dont il a été victime montrent bien qu’à cette époque il valait mieux se taire en Colombie. Il s’exprimait notamment sur des sujets polémiques. Or, comme le dit l’une de ses anciennes élèves, à l’époque personne n’en parlait dans le pays. Il s’agissait là d’une préoccupation qui semblait réservée aux étrangers, notamment américains, alors que la santé est un enjeu majeur pour le bien-être et le progrès du pays. Les années 80 marquent aussi les grandes années de Pablo Escobar et la naissance des brigades paramilitaires, aussi appelées « escadrons de la mort ». En 1985 a lieu la prise du Palais de justice par la guérilla M-19, suivie de l’assaut de l’armée puis de l’incendie dans lequel une centaine de civils trouvent la mort. En marge de cela, des membres du parti communiste et des anciens guérilleros, qui avaient décidé de revenir à la vie civile et se présentaient aux élections sous l’étiquette de l’UP (Union Patriotique) sont massacrés. Il y a eu en tout 5000 morts et cela n’a jamais été élucidé.
– Le film est aussi marqué par la violence qui semble venir de partout…
Oui, d’ailleurs les premières scènes du film sont toutes des scènes de violence. La première montre Héctor Abad Faciolince sortant du cinéma avec son amie et lui disant qu’il en a assez de voir autant de violence et de revolvers dans les films qui parlent de l’Amérique latine. Puis, il revient en Colombie alors que son père vient d’être mis à la retraite de manière forcée. La troisième scène, elle, est vue au travers du viseur d’un revolver. L’importance des armes dans la société est clairement montrée dès le début du film, et il s’agit d’une vraie toile de fond en Colombie. Dans toutes les productions artistiques, le revolver et la vénération des armes sont des motifs centraux.
– Vous écrivez que les récits personnels font office de « réparation symbolique et de thérapie sociale ». Pourquoi est-il particulièrement important que les Colombiens se réapproprient cette période de leur histoire ? Qu’est-ce qui rend cette réappropriation difficile ?
Les Colombiens qui souhaitent la fin de la guerre ont commencé, à partir des années 80, à se réapproprier leur histoire. Il existe une effervescence testimoniale impressionnante dans le pays avec des écrits, des productions, des films, des œuvres artistiques… Les Colombiens ont la douleur et le refus de l’oubli inscrits dans leur chair. Cela n’empêche pas que la violence continue. Il y a toujours des forces pour empêcher que la paix s’instaure durablement. Pour certains secteurs de la société (trafiquants de drogues, propriétaires terriens…) la guerre est plus rentable que la paix. Certaines activités, comme l’expropriation de terres, peuvent se dérouler beaucoup plus facilement en temps de guerre.
– En quoi la figure du docteur Héctor Abad Gómez est-elle emblématique de l’histoire de la Colombie ?
Tous les Colombiens ont quelque chose à raconter et beaucoup ont perdu un proche, un parent, un membre de leur famille. Héctor Abad Gómez est emblématique de cette violence. Par ailleurs, il s’agit d’une figure connue en Colombie. Quand il est mort, il se présentait comme représentant du parti libéral à la mairie de Medellín. Ses étudiants l’aimaient beaucoup, il suffit de voir dans le film les hommages qui sont organisés, la manifestation qui se tient en marge de son enterrement. Il était aimé, reconnu, et en plus d’être un grand médecin, il défendait les droits humains et était proche du peuple.
– Dans l’imaginaire français, la ville de Medellín est associée à la drogue et à la violence. Quel est son profil, par rapport à d’autres villes de Colombie comme Bogotá ?
La ville de Medellín a un statut particulier en Colombie. Elle se situe dans la région d’Antioquia et est traditionnellement associée aux grands chefs d’industrie. Dans les endroits les plus reculés de Colombie on retrouve des gens originaires d’Antioquia. Ce sont des commerçants, des hommes d’entreprise, des colonisateurs et surtout des travailleurs infatigables. À Medellín, le silence n’existe pas : il y a de l’activité à toutes les heures du jour et de la nuit. Évidemment Medellín est aussi la ville où est né le premier grand cartel de la drogue, celui de Pablo Escobar. Escobar recrutait ses sicaires (hommes de main) dans les quartiers pauvres de la ville. L’esprit d’entreprise de Medellín fait qu’être un tueur à gage qui assassine par contrat, est considéré comme une entreprise comme une autre. À l’époque de Pablo Escobar les assassinats en pleine rue étaient fréquents. Tout l’entourage d’Héctor Abad Gómez est d’ailleurs parti en exil après son assassinat.
– Le roman d’Héctor Abad Faciolince a été un immense succès en Colombie. Qu’est-ce qui a particulièrement touché les lecteurs dans ce récit ? Pourquoi a-t-il eu un tel retentissement ?
Héctor Abad Faciolince était déjà un romancier connu et reconnu en Colombie au moment de la publication de L’Oubli que nous serons. Dans ce livre, il raconte l’histoire de millions de Colombiens, une histoire de douleur. Quand ces récits provenaient de personnes du peuple ou d’indigènes qui vivaient dans des coins reculés du pays, ils n’ont que peu d’échos. Au contraire, L’oubli que nous serons raconte la vie et le destin d’un homme public, connu au plan national, qui s’est présenté à la mairie et qui n’en a pas moins été fusillé en pleine rue. Ce témoignage a montré que la violence ne touchait pas seulement les gens du peuple mais tous ceux qui osaient élever la voix et défendre les Droits Humains.
– Ce récit autobiographique est sorti en 2006, un an après l’adoption de la loi Justice et Paix par le Congrès colombien. Ce contexte a-t-il joué dans la réception du roman ?
La loi de 2005 a été très mal vécue par la société civile. Elle a été perçue comme une manière d’accorder l’impunité à tous les paramilitaires, encouragés à revenir à la vie civile. Cet ouvrage n’a fait qu’ajouter au mécontentement et aux protestations qui étaient d’ailleurs toujours assez mesurées : ceux qui s’exprimaient trop fort se faisaient descendre. Le roman n’a fait que compléter les critiques qui étaient faites au président Álvaro Uribe.
– Plus de dix ans plus tard, le film est choisi pour représenter la Colombie aux Oscars. Cette histoire est-elle toujours d’actualité ? Comment le contexte a-t-il changé depuis la parution du roman ?
Oui, cette histoire est toujours d’actualité, dans la mesure où la Colombie est encore aux prises avec le fait que le traité de paix n’est pas appliqué. Malgré toutes les régressions et les révisions qui ont été faites, il n’y a toujours pas de paix dans le pays. Au sein de la guérilla, ceux qui s’étaient démobilisés se remobilisent. Ils savent que le massacre de l’Union Patriotique va se reproduire et ils ont repris le maquis. D’autres ne se sont jamais démobilisés. La mafia et les trafiquants de drogue, eux, continuent à faire leurs affaires.
(1) Marie Estripeaut-Bourjac est maître de conférence à l’ESPE d’Aquitaine-Université de Bordeaux en langues et études romanes et en sciences du langage. Elle a publié L’écriture de l’urgence en Amérique latine (Presses Universitaires de Bordeaux) et, avec Nicole Pelletier et Patricia Paillot, Vivre avec la mémoire des conflits. D’un continent à l’autre (à paraître aux Presses Universitaires de Bordeaux).

9 juin 2021 — Espagnol
FESTIVAL CINELATINO
Los alumnos de LVA pudieron asistir a la apertura del festival asistiendo a la proyección de : TENGO MIEDO TORERO [JE TREMBLE, Ô MATADOR] de Rodrigo SEPÚLVEDA – Chili, Argentine, Mexique | 2020
PRIX CINÉ & PRIX DU PUBLIC LONG-MÉTRAGE DE FICTION LA DÉPÊCHE DU MIDI
Y presenciaron un encuentro con el actor principal :
Alfredo Castro est l’un des acteurs les plus primés du cinéma chilien et le plus loué et respecté par la critique. Directeur d’une école, d’un théâtre et d’une troupe du nom de Teatro de la Memoria, metteur en scène, scénariste, acteur, il incarne le plus souvent des personnages tourmentés avec sobriété et complexité. Ce n’est qu’à 50 ans, en 2006, qu’il aborde le cinéma, dans Fuga, premier film de Pablo Larraín, alors inconnu du public. Pour son deuxième opus, Tony Manero (2008), Pablo Larrain fera appel à Cinéma en Construction à Toulouse, révélant aux professionnels du cinéma le talent d’un acteur hors normes, il remportera le Prix Cinéma en Construction avant d’entamer à Cannes, à la Quinzaine des Réalisateurs, un long parcours dans les festivals et les salles de cinéma. Alfredo Castro est devenu par la suite l’un des acteurs fétiches du désormais célèbre Larrain, avec 6 films à son actif.

8 juin 2021 Histoire des arts et Lettres Modernes — Autour de l’exposition « Au-delà des apparences, il était une fois, il sera une fois », Musée des Abattoirs
Captation vidéo d’une lecture de textes par les étudiants.
Coord. : C. Catifait et N. Cournarie
31 mai 2021 Espagnol — Visite de l’exposition consacrée au poète et artiste peintre, Rafael Alberti, à l’Institut Cerventès, lundi 31 mai.
Coord. : Ludovic D’Agostin.
31 mai 2021 Anglais — Conférence à l’Université Jean Jaurès sur les représentations de la nature dans des œuvres littéraires nord-américaines.
Coord. : M. Soler

Histoire — La valorisation d’une archive du Lycée par des étudiants de Lettres supérieures du Lycée Saint-Sernin de Toulouse (LSHA – avril-juin 2020)
Le Lycée de jeunes filles de Toulouse pendant la Première Guerre mondiale : un hôpital militaire au cœur d’un lycée de 1914 à 1918.
Coord. : Marie Perny
https://view.genial.ly/603a27e319e1625625aae2b3/presentation-le-lycee-st-sernin-pendant-la-1ere-guerre-mondiale-analyse-darchives

Journée Portes ouvertes
CPGE AL LSH et BL
en virtuel
samedi 6 mars 2021
Conférences du Proviseur (10h et 14h)
Discussion avec les professeurs et les élèves (9h-12h / 13h-16h)
CONNEXION pour réunion ZOOM
https://saint-sernin.mon-ent-occitanie.fr/administration-actualites-vie-scolaire/actualites/journee-portes-ouvertes-virtuelles-cpge-6-mars-2021-55063.htm

11 février 2021 — Espagnol
Revue de presse latino-américaine et espagnole et analyse méthodologique par des étudiantes
Coord. Laffite et L. D’Agostin

14 janvier 2021 — Histoire des arts
Séminaire avec Clarisse FAVA-PIZ, PHD à l’Université de Pittsburgh, spécialiste de la sculpture au XIXème siècle, avec le soutien de plusieurs musées et instituts d’histoire d’art aux Etats-Unis.
Enjeux et débats autour de la sculpture publique aux Etats-Unis.
Coord. : N. Cournarie


11 décembre 2020 — Forum des Grandes écoles et parcours sélectifs
Par visio , communication en ligne avec des anciens élèves ayant intégré les Grandes Ecoles
2019-2020

1er juillet 2020, 18 et 21 heures
et 2 juillet 2020, 21 heures — Théâtre
E-représentation à partir de Mangeclou d’Albert Cohen.
Sever Martinot-Lagarde
S’inscrire à spectacle.mangeclous@gmail.com
Places limitées : 100
Mangeclous est une célébration comique et rabelaisienne de la vitalité et des rêves de grandeur d’un petit peuple d’amis juifs, les Valeureux, issus du ghetto de l’île grecque de Céphalonie.
Au cours d’un périple qui nous conduit de Céphalonie à Genève en passant par Marseille (suivant en cela la trajectoire biographique d’Albert Cohen), nous suivons les exploits imaginaires de Pinhas Solal, dit Mangeclous, de l’Oncle Saltiel, de Mattathias, de Michael et du petit Salomon. Nos amis sont des bouffons bavards, hâbleurs et toujours affamés, menteurs et sincères, généreux et grippe-sous, misogynes et amoureux, terriblement courageux et lâches, machiavéliquement rusés et candides, parfaitement pieux et athées, sionistes et antisémites, grands rêveurs devant l’Eternel…
Derrière la verve éblouissante et l’explosion de joie de vivre, d´humanité, d’humour juif et d’autodérision qui caractérisent le roman d’Albert Cohen, s’amoncellent des nuages de tristesse et d’incompréhension. Ecrit en 1938, Mangeclous lance un éclat de rire au bord du précipice.
24 juin — Accueil en distanciel des nouveaux élèves de 2ème année
20 avril — Philosophie Reporté
14h-16h., salle des conférences
Conférence d’E. Bories : « Réflexions sur la démocratie »
Coord. : E. Bories
19 mars — Histoire des arts Reporté
Conférence de M. Gironet, Architecte des bâtiments de France : Influence de Léonard de Vinci sur les fresques de la Renaissance
Coord. : N. Cournarie
5 mars — Cinéma
18h, Amphithéâtre Marsan, Toulouse School of Management.
Conférence AGCOM sur le thème : « Révolution médiatique et nouvelles communications – le cinéma face au streaming en 2020 ». Présence de la société de distribution Wild Bunch aux 5 oscars et rencontre avec sa chargée du digital, Fantine Guemghar.
6 février — Histoire des arts
Conférence de M. Gironet, Architecte des bâtiments de France : Initiation à l’architecture
Coord. : N. Cournarie
3 février— Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Art contemporain 2 »
18h-19h30 : E. Vidal (conférencier)
Coord. : N. Cournarie
30 Janvier — Histoire des arts
Visite et présentation des chapiteaux romans du musée des Augustins
Coord. : N. Cournarie

23-28 janvier — Histoire des arts
Voyage d’études à Paris : visites et rencontres avec des conservateurs (Société française de photographie ; Musée du Louvre ; Musée des Arts décoratifs ; Bibliothèque historique de la ville de Paris ; Musée d’Orsay ; Musée Picasso ; Centre Pompidou ; Exposition L. de Vinci ; Bibliothèque Nationale de France ; Exposition Huysmans)
Musée d’Orsay, salle Gauguin)
Coord. : N. Cournarie

25 janvier — Journée Portes ouvertes CPGE
9h-12h30
JPO CPGE 25 janvier 2020
20 janvier — Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Art contemporain 1 »
18h-19h30 : E. Vidal (conférencier)
Coord. : N. Cournarie
13 et 20 janvier — Espagnol : Atelier de traduction thème/version
Coord. : L. D’agostin

10 janvier — Espagnol : Concert « Sur un air andalou« , Halle aux Grains
Coord. L. D’Agostin
6 janvier — Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Art moderne »
18h-19h30 : E. Vidal (conférencier)
Coord. : N. Cournarie

19 décembre — Histoire des arts
Présentation par les étudiants de l’exposition Rose Béton
Musée des Abattoirs
17h30-18h30
Et présentation de l’Ecole du Louvre par deux anciennes étudiantes
16 décembre — Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Renaissance nordique »
18h-19h30 : A. Hémery (conservateur)
Coord. : N. Cournarie
9 décembre — Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Peinture hollandaise du Siècle d’Or »
18h-19h30 : A. Hémery (conservateur)
Coord. : N. Cournarie
16 décembre — Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Peinture hollandaise du Siècle d’Or »
18h-19h30 : A. Hémery (conservateur)
Coord. : N. Cournarie

18 décembre — Espagnol
10h-12h
Université Jean Jaurès
Conférence de Luis González (MCF) : Lope de Vega y la comedia: la creación del teatro nacional
Coord. : L. D’Agostin


18 décembre — Philosophie
Conférence-entretien par Edgar Morin
Université Toulouse 1 Capitole
17h30-19h
Coord. : L. Cournarie
L’urgence de transmettre E. Morin

16 décembre — Etudes théâtrales et musique
Spectacle musical sur des nouvelles de Maupassant et des poèmes de Michaux
20 h., Collège Pierre de Fermat
16 décembre — Etudes théâtrales et musique
Spectacle musical sur des nouvelles de Maupassant et des poèmes de Michaux
20 h., Collège Pierre de Fermat
Coord. : J.-S. Cambon et S. Martinot-Lagarde

13 décembre — Forum des Grandes Ecoles
13h30 – 17h (3ème étage)


12 décembre — Histoire des arts
Présentation du livre d’artiste par Fabrice Raymond
Médiathèque du Musée des Abattoirs
Coord. : N. Cournarie
12 décembre — Histoire REPORTÉ
Rencontre avec Gerd Klestadt, rescapé de la Shoah
10h15-12h15
Coord. CPGE : Ph. Ruiz.

6 décembre — Histoire des arts
Lancement du projet de rédaction de cartel et de panneaux pédagogiques au Musée des Augustins
Atelier de peinture a tempera
Coord. : N. Cournarie
26 novembre— Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Peinture, sculpture : Renaissance Italie 2 »
18h-19h30 : A. Hémery (conservateur)
Coord. : N. Cournarie
18 novembre— Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Peinture, sculpture : Renaissance Italie 1 »
18h-19h30 : A. Hémery (conservateur)
Coord. : N. Cournarie
9 décembre — Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Peinture hollandaise du Siècle d’Or »
18h-19h30 : A. Hémery (conservateur)
Coord. : N. Cournarie
18 novembre — Anglais
14h-16h
Conférence de Mme Lécole, MCF Arts plastiques : « Voiles blancs. La blancheur fait-elle motif ? »
Coord. : J. Miguel
15 novembre — Espagnol
Conférence de Pierre-Frédéric Charpentier


18 décembre — Philosophie
Conférence-entretien par Edgar Morin
Université Toulouse 1 Capitole
17h30-19h
Coord. : L. Cournarie
: « Les intellectuels français et la guerre d’Espagne, une guerre civile par procuration »
Salle des conférences, 14h-16h
Coord. : L. D’Agostin
http://www.editionsdufelin.com/o-s-cat-r-623.html
12 novembre — Lettres Modernes



Rencontre avec l’écrivain Jean-Philippe Toussaint au sujet de son premier roman, et de son dernier texte, La clé USB.
15h30
Amphithéâtre Valade — en partenariat avec l’Université Toulouse 1 Capitole.
Coord. : Carole Catifait
17-31 octobre — Histoire des arts

Médiation : Exposition Thomas Catifait « D’ici et de maintenant », Bibliothèque de l’Université Toulouse Capitole 1
Coord. : N. Cournarie

17 octobre — Histoire des arts
Médiation (stage) : Exposition Peter Saul, Coord. : N. Cournarie.
Musée des Abattoirs
14 octobre— Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Iconographie : Nouveau Testament »
18h-19h30 : N. Cournarie
Coord. : N. Cournarie
4 octobre— Histoire des arts
Module : Préparation Ecole du Louvre , « Iconographie : AncienTestament »
18h-19h30 : N. Cournarie
Coord. : N. Cournarie
18-20 septembre 2019 — Voyage d’étude et d’intégration (LSHC) dans le Haut Ampurdan.
Coord. M. Palevody, V. Doumerc, O. Loubes.
2018-2019
6 juin — Histoire des arts
Médiation Exposition « Picasso et l’exil »
16h30, Musée des Abattoirs
Coord. N. Cournarie et E. Vidal (guide-conférencier)


25 mai — Histoire
Dans le cadre du Festival L’Histoire à venir, conférence de C. et P. Vesperini, sur le thème : «A quoi sert l’histoire de la philosophie ?»
Un antiquisant et une médiéviste se retrouvent pour parler de la façon dont on a écrit l’histoire de la philosophie en Europe, et s’interroger sur la façon dont on peut l’écrire autrement aujourd’hui. Cette question, en apparence éloignée de nos préoccupations quotidiennes, est en réalité profondément politique, tant l’histoire de la philosophie fonde notre rapport au politique. Tel sera le fil conducteur d’un dialogue où se confronteront méthodes, périodes et nouvelles perspectives.
Coord. O. Loubes
https://2019.lhistoireavenir.eu/evt/174/
23 mai — Musique
Concert des optants de musique, salle des conférence, 20 h.
Coord. S. Cambon
22 mai — Toutes options
Mercredi 22 mai, à 14h, en salle 322,
Florie Boy, directrice de Media d’Oc, conservatrice de bibliothèque (ancienne élève de khâgne) et Maxime Coumes (BUC de l’Université Jean Jaurès) viennent présenter les métiers liés aux bibliothèques pour les étudiants de CPGE de Toulouse.
Coord. : Carole Catifait, Nathalie Cournarie.
14 mai — Langues vivantes
Ateliers-débats au lycée Saint-Sernin (CPGE-lycée)

« Le travail de mémoire, un enjeu plurilinguistique »
“Les récentes découvertes sur le positionnement pro-nazi du peintre Emil Nolde ont contraint Angela Merkel à faire décrocher les deux tableaux qui ornaient son bureau à la chancellerie. Dans le contexte de l’Amérique à l’heure d’un président controversé, le collectif For Freedoms (https://www.icp.org/exhibitions/for-freedoms-where-do-we-go-from-here) revisite les affiches iconiques de Norman Rockwell publiées à l’issue du discours sur l’Etat de l’Union de Franklin D. Roosevelt en 1941. Ces supports permettent un travail très riche à partir de visuels complexes qui amènent à élaborer tout une réflexion sur la mémoire politique d’un pays.
Ces trois événements montrent à quel point les enjeux de mémoire restent prégnants aujourd’hui, voire trouvent une acuité nouvelle. Ils montrent aussi la diversité des formes et des supports de ces débats.
Le mardi 14 mai au lycée Saint-Sernin, des ateliers ont été proposés par les étudiants de classes préparatoires littéraires aux lycéens autour de ces enjeux. La discussion, en anglais ou en allemand, a pris des formes variées, montrant les enjeux mémoriaux qui sous-tendent des images liées au thème de la mémoire choisies par les étudiants et les professeurs”
Coord. A.-S. André et P. Pujo

7 mai — Langues et culture de l’Antiquité
Journée d’études : Les dieux et les hommes dans l’Antiquité grecque et romaine
Coord. J.-L. Lévrier programme dieux & hommes
11h-12h : Visite de l’exposition temporaire « Age of Classics ! L’Antiquité dans la culture pop » (Laure Barthet, conservateur du patrimoine et directrice du musée Saint-Raymond, Pascal Capus, chargé des collections de sculptures romaines et numismatiques, Loussia Da Tos, médiatrice culturelle au musée Saint-Raymond.
14h Jean-Claude Carrière, professeur émérite de langue et littérature grecques à l’Université Toulouse II – Jean Jaurès, « Héraclès de la Méditerranée à l’Océan ».
14h40 Pascal Capus, chargé des collections de sculptures romaines et numismatiques, « Les villae de l’Antiquité tardive : des refuges pour les dieux ? ».
15h40 René Cubaynes, agrégé de l’Université, docteur ès sciences, titulaire d’une thèse post-doctorale en histoire antique de l’École Pratique des Hautes Études, « ‘Deis gratias ago’, cultes et syncrétisme dans les légions romaines, l’exemple de la VIIIe légion Auguste ».
16h20 Jean-Marie Pailler, professeur émérite d’histoire ancienne et archéologie à l’Université Toulouse II – Jean Jaurès, « Saturnin, son martyre et son image dans l’Antiquité (IIIe – Ve siècle) ».

11 avril — Espagnol, Histoire des arts, Lettres Modernes
Lecture vagabonde — Autour de l’exposition Picasso et l’exil
par les élèves de classes préparatoires
18h30 — Entrée Libre
Coord. Carole Catifait, Nathalie Cournarie, Ludovic D’Agostin

16 mars-2 juin — Histoire des arts
Médiation des étudiants à l’exposition de la Collection Motais de Narbonne, Fondation Bemberg
Coord. Nathalie Cournarie


12 mars — Anglais
Participation à une rencontre-table ronde à l’UT2J sur le Brexit

21 Février — Histoire des arts
Vernissage de la Collection Motais de Narbonne, Fondation Bemberg
22 Février — Histoire des arts
Rencontre avec les collectionneurs et la commissaire d’exposition
Coord. Nathalie Cournarie

31 Janvier — Lettres
Les conférences-rencontres des bibliothèques de l’université Toulouse Capitole
Lydi Salvayre, écrivain
Amphi Dauvillier : rencontre et séance de dédicaces
Coord. Carole Catifait et Marcel Marty (UT1)

24 janvier-29 janvier — Histoire des arts
Voyage d’études à Paris : « La photographie au XIXè siècle » — visites, rencontres et conférences : ENSB, Société française de photographie, Petit Palais, Exposition Nadar, Orsay, BHVP, Louvre et Centre Pompidou
Coord. Nathalie Cournarie

25 janvier — Anglais
Dans le cadre d’un colloque sur la ville dans les récits de guerre, les étudiants de LSHC assistent à la conférence « The city is a foreign country », de l’écrivain américain Kewin Powers (auteur de)
Université Jean Jaurès, Maison de la Recherche
Coord. Marielle Soler

24 janvier — Philosophie
Participation des étudiants de philosophie à la rencontre-débat avec B. et S. Klarsfeld
Université Toulouse Capitole 1, 18h30, Amphi Cujas
Coord. Laurent Cournarie

22 janvier 2019 20h — Concert-Lecture « Les Tristesses d’Ovide »
Auditorium Saint-Pierre des Cuisines
avec la participation d’étudiants de CPGE
Coord. Jean-Luc Lévrier

10 janvier — Histoire des arts
Musée des Abattoirs, Présentation par les étudiants de l’exposition « Prix Mezzanine Sud » (Marie-Luce Nadal, Agathe Pitié, Mazaccio)
Coord. Nathalie Cournarie
19 janvier 2019, 9h30-12h — Journée Portes Ouvertes
JournéePortesOuvertesSt-Sernin2019
18 Décembre — Histoire des arts

Médiation des étudiants dans le cadre de l’exposition David Claerbout au musée des Abattoirs
Coord. Nathalie Cournarie

11 Décembre — Lettres
Les conférences-rencontres des bibliothèques de l’université Toulouse Capitole
Guillaume Sire, écrivain
Amphi Maury : rencontre et séance de dédicaces
Coord. C. Catifait et M. Marty
6 novembre, 14h et 7 novembre 11h — Espagnol


Spectacle Ligeros de equipaje. Crónica de la retirada par la compagnie Producciones Viridiana, suivi d’un échange avec les comédiens.
http://musee-resistance.haute-garonne.fr/fr/evenements-1/expositions-precedentes/la-retirada.html?search-keywords=retirada
Coord. E. Gil

6 novembre — Philosophie
Les optants de philosophie participent à la conférence-rencontre, organisée par l’Université Toulouse Capitole 1, avec l’historien François Dosse pour la sortie de son dernier ouvrage en 2 volumes La Saga des intellectuels français
Coord. L. Cournarie

26 septembre 2018 — Allemand
Dans le cadre de la Quinzaine franco-allemande (https://www.15francoallemandeoccitanie.fr) organisé par le GOETHE-INSTITUT et en coopération avec le Lycée St Sernin
Goethe-Institut — 4 bis rue Clémence Isaure à Toulouse (31)
20 h.
Coord. : Catherine Doumerg, Pauline Pujo, Martine Reille

« N’attends pas de jours meilleurs ! » Textes et chansons de Wolf Biermann
Caractérisé par un destin hors du commun et intimement lié à l’histoire allemande ‒fils de résistants communistes au nazisme puis poète et chansonnier dissident en RDA jusqu’en 1976 puis à l’Ouest ‒Wolf Biermann est aussi un auteur francophile, qui parsème ses textes de mots français, qui se sent cousin de Heinrich Heine et de François Villon, et s’inspire de la chanson française (Brassens, Boris Vian, entre autres). Après une conférence introductive, lectures d’extraits en allemand et en français présentés par les élèves du lycée Saint Sernin, alterneront avec l’interprétation de quelques unes de ses chansons.

17 septembre — Cinéma Audiovisuel
Visite et présentation de la Cinémathèque de Toulouse
Coord. M.H. Meaux
8, 15, 22, 29 septembre — Histoire des arts
Médiation par des étudiantes et des étudiants de l’option du lycée Saint-Sernin dans le cadre de l’exposition Même pas peur à la Fondation Bemberg

15h30-19h30
Fondation Bemberg
Coord. Nathalie Cournarie