Venez déguster un bon Richard III de Shakespeare en français pour voir si le vers reste à moitié plein.
C’est un lieu commun de considérer la traduction comme une trahison. Mais le contraire pourrait-il parfois vrai, y compris pour des œuvres majeures, comme par exemple pour le Richard III de Shakespeare ? C’est cette question malicieuse que G. Kenny a choisi de traiter. (L. C.)
